Tout le monde a appris durant ses premiers cours de biologie que l'homme descendait du singe et que la toute première cellule vivante était née d'une "soupe primitive", une sorte de bouillon prébiotique contenue dans les océans encore brulant des prémices de la Terre. Pourtant, tout ceci ne reste qu'une hypothèse, ce qui est fâcheux c'est que cela nous a été présenté et enseigné à l'école comme un fait alors que cela n'a toujours pas été démontré.
La théorie de l'évolution est inscrite dans la conscience collective
Même si les gens ne savent pas réellement ce qu'est cette théorie, on constate qu'elle est pourtant inconsciemment inscrite dans tous les esprits au même titre que la théorie de la gravité qui explique que si on lâche une pomme, celle-ci tombera. Or, la théorie de la gravité ne modifie pas directement notre compréhension du monde et ne touche pas à nos convictions propres et à nos croyances personnelles (religieuses ou simplement spirituelles). En revanche, la théorie de l'évolution mis en avant par Charles Darwin, bouleversa entièrement l'éthique, les religions, la spiritualité et continue encore aujourd'hui à brouiller les esprits et attirer des pauvres âmes sur le chemin du matérialisme. La théorie de l'évolution de Darwin constitue d'ailleurs l'unique rempart pour les matérialistes et les athées pour expliquer les origines de la vie.
Avant la théorie de l'évolution
Avant la théorie de l'évolution de Darwin, le fossé entre la science et la religion n'était pas aussi creusé que maintenant. La quasi-totalité des savants admirait la perfection de l'Univers, l'harmonie des lois qui le régissaient et étaient conscients qu'un Créateur ou qu'une Force Créatrice était à l'origine de tout cela. La première grande source de conflits notable entre scientifiques et religieux porta sur des données géologiques. En effet, les progrès des géologues ont fini un jour par démontrer que la Terre était âgée de plusieurs milliards d'années, ce qui ne s'accordaient pas avec le récit biblique de la Genèse qui fait remonter l'âge de la Terre à 6000 ou 10 000 ans selon les sources.
La théorie de l'évolution : le choc
La source de conflits majeure qui à mon sens occasionna la véritable grande dispute entre religieux et scientifiques est née au XIXe siècle avec les travaux de Charles Darwin. Cet homme est en effet l'un des points de départ de la propagation du matérialisme et de l'athéisme. Pour reprendre l'expression du scientifique Richard Dawkins, Darwin est l'homme qui a donné aux autres hommes les moyens d'être des athées intellectuellement comblés. Le psychanalyste Freud déclara d'ailleurs la théorie de l'évolution de Darwin comme l'une des trois grandes blessures de l'égoïsme dans l'Histoire de l'homme, après la découverte de l'héliocentrisme de Copernic et avant la psychanalyse.
Pourquoi la théorie de l'évolution de Darwin a t-elle déclenché la fureur des croyants?
Pour faire court, la théorie de Darwin affirme tout d'abord que toutes les espèces descendent d'un ancêtre commun, ce qui est du coup en contradiction directe avec le récit de la création écrit dans la Genèse. Pourtant, ce ne fût même pas le principal point de dissension qui provoqua le divorce entre la science et la religion catholique. On peut en effet rester croyant et voir dans le récit de la Genèse une image qui n'est pas à prendre au pied de la lettre. Si Dieu est La Toute-Puissance, il a tout aussi bien pu créer la vie en sept jours comme en plusieurs milliards d'années par le biais de l'évolution. La véritable rupture s'est faite sur le processus de l'évolution. Selon la théorie de Darwin, l'évolution serait le fruit d'un processus aléatoire entièrement aveugle. Le hasard, et le hasard seulement serait à l'origine de l'évolution, et l'homme ne serait plus l'aboutissement d'une Volonté Créatrice, mais le résultat d'une immense loterie.
George Gaylord Simpson, darwiniste convaincu écrivit : "L'homme est le résultat d'un processus naturel et sans but, qui ne l'avait pas prévu."
On voit bien ici que l'évolution darwinienne (exclusivement matérialiste) est inconciliable avec l'idée d'un Créateur qui aurait dirigé l'évolution. Pour Darwin et ses adeptes, il n'y a ni Créateur ni révélation, la diversité de la vie n'est due qu'à la sélection des formes de vie les mieux adaptées à leur environnement et par suite de diverses modifications accidentelles.
Les origines de la théorie de l'évolution
Comment Darwin en est-il arrivé à cette théorie?
Petit retour historique sur ce basculement important de l'histoire.
Jusqu'à la seconde moitié du XIXe siècle, l'Univers tout entier était considéré en Europe comme la création de Dieu et toutes les espèces avaient été créées immuables (théorie du fixisme). Le récit de cette croyance créationniste était enseigné par la Bible, dans le premier livre de l'Ancien Testament, la Genèse. Le fixisme en clair explique que Dieu créa les poissons, les amphibiens, les reptiles, les oiseaux, les mammifères, toutes les espèces de la Terre en somme, mais sans aucun lien entre eux. Une fois créées la morphologie et la structure de ces différentes espèces ne bougeaient plus, leur apparence était scellées. Elles ont été créée comme ça, elles resteront comme ça. C'est une théorie en accord avec le récit de la Bible.
En 1831, Charles Robert Darwin, naturaliste de 22 ans embarqua sur le Beagle un navire de la Royal Navy dont l'expédition avait pour but d'achever des relevés topographiques en Amérique Latine. Ce long périple qui dura 5 ans finit par l'amener jusqu'au îles Galapagos où il visita 13 îlots volcaniques dotés de nombreuses espèces animales et végétales encore non répertoriées. En tant que scientifique, c'est à ce moment précis que Darwin se retrouva face à une grande contradiction. Fervent croyant élevé dans la foi catholique, il se rendit compte en visitant les différents îlots qu'il y avait beaucoup d'espèces voisines et qu'à sa grande surprise certaines espèces semblaient dériver les unes des autres. Il observa 14 espèces de pinsons, de tailles et de couleurs différentes et avec des becs distincts. Il semblait que ces pinsons étaient issus d'une espèce unique mais qui aurait subi à chaque fois de légères modifications. Si toutes les espèces avaient été créées immuables comme l'enseignait l'église, pourquoi Dieu avait -t-il créé des espèces uniques pour chacune de ces îles? A partir de cet instant, Darwin compris que les espèces pouvaient se modifier et évoluer. Il écrivit :
"Enfin la lumière m'est venue, et je suis presque convaincu (tout à fait contrairement à mon opinion de départ) que les espèces ne sont pas (et c'est comme si j'avouais un crime) immuables" (autrement dit elles peuvent évoluer)."
Cette idée de la modification et l'évolution des espèces n'était cependant pas nouvelle. Elle avait déjà été formulée par le philosophe de la Grèce antique Anaximandre de Millet en 550 av J.C et fut reprise par Empédocle, Epicure et Démocrite. Ces philosophes, tous matérialistes, donnaient ainsi une explication de la vie par un processus d'évolution matérialiste, qui offrait une alternative à la croyance populaire en une création surnaturelle. Le biologiste français Jean-Baptiste Lamarck (XVIIIe siècle) qui inspira en grande partie les travaux de Darwin, fut la première personne à donner un exposé détaillé sur la théorie de l'évolution. Cette théorie qu'il appela à l'époque le transformisme affirmait que les espèces n'étaient pas immuables mais issues d'autres espèces et pouvaient elles-même donner naissance à de nouvelles.
Darwin lui formula une nouvelle théorie (tout aussi matérialiste) de l'évolution qu'il formula dès 1838, mais qu'il ne publia qu'en 1859 dans son ouvrage "De l'Origine des espèces" après 20 ans de réflexion.
La théorie de l'évolution de Charles Darwin s'appuie sur deux grands processus.
- la sélection naturelle
- les modifications aléatoires ou accidentelles des espèces (que l'on appellera plus tard modifications génétiques suite à la découverte de l'ADN et des gènes au XXe siècle)
Pourquoi Darwin a mis autant de temps a publié sa réflexion?
Deux raisons :
- il souhaitait accumuler le plus de preuves en faveur de sa théorie
- il doutait de sa théorie.
L'origine de la vie dans les océans
La théorie de l'évolution prétend que la vie s'est formée par hasard au fond des océans. Au fin fond des âges, lorsque les océans primitifs de la Terre bouillonnaient encore, une sorte de bouillon de culture s'est formé et la toute première forme de vie est apparue. Comment? On ne sait pas, aucun évolutionniste ne l'explique... Cette vie, qui était au départ primitive avec des êtres comme les bactéries, se serait développée, perfectionnée, complexifiée et transformée après des centaines de millions d'années pour devenir des êtres invertébrés marins qui sont ensuite devenus des poissons vertébrés qui ensuite se sont transformés en amphibiens qui ont colonisé le milieu terrestre pour évoluer en reptiles qui se sont divisés en deux branches, les reptiles auraient donnés les oiseaux et l'autre branche des reptiles auraient donnés les mammifères qui auraient évolués pour arriver jusqu'au singe.
Qui d'entre vous ne se rappelle pas de ce fameux dessin sur les livres de biologie où l'on voyait un batracien (amphibien maintenant) se changer en poisson puis le poisson sortir de l'eau avec des pattes et ramper sur la terre ferme en se changeant en reptile? C'est le schéma de la sortie des eaux.
Cette théorie avait l'avantage pratique d'aborder deux points, elle expliquait à la fois la diversité de tous les êtres vivants de la planète mais aussi l'origine de l'homme. Les fervents défenseurs de Darwin martèlent avec force qu'il n'a jamais été jusqu'à dire que l'homme descendait du singe. Cette affirmation est complètement fausse! Il ne l'a pas affirmé dans "L'Origine des espèces" mais il l'affirma plus tard.
Tout d'abord, il écrivit dans ses carnets de 1938 ceci : "L'homme dans son arrogance se croit une grande oeuvre digne de l'intervention d'un dieu. Il est plus humble et je pense plus vrai de le considérer comme crée à partir des animaux".
En 1874, dans son livre "La descendance de l'Homme", il écrivit : "Dans un avenir pas très lointain en comptant par siècles, les races civilisées de l'homme vont sans doute exterminer et prendre la place des races sauvages à travers le monde. Dans un même temps, les singes anthropomorphes seront sûrement exterminés. La séparation entre l'homme et ses alliés les plus proches s'intensifiera car elle touchera, je l'espère, l'homme dans son état plus civilisé, le Caucasien et certains singes aussi inférieurs que le babouin, au lieu comme c'est le cas aujourd'hui entre le nègre, ou l'Australien et le gorille".
Les êtres intermédiaires
On vient de voir ci-dessus que selon Darwin, l'évolution serait une accumulation de variations légères et successives. Puisqu'il part du principe que l'évolution se serait faite de manière graduelle, sa grande trouvaille pour prouver sa théorie fut de rechercher ce qu'il appelait les êtres intermédiaires (ce qui pour le coup est logique), c'est à dire les espèces intermédiaires entre deux espèces animales. Par exemple entre le poisson et l'amphibien, cela serait un être qui est à la fois poisson et amphibien (mi poisson mi amphibien) ou un être qui fait par exemple la transition entre le reptile et l'oiseau. Il affirma à l'époque que "le nombre de formes intermédiaires constituant les chaînons de transition entre toutes les espèces vivantes et les espèces perdues a donc du être infiniment grand". Il essaya de confirmer sa théorie par l'étude des fossiles. Si celle-ci était vraie, les fossiles auraient du présenter une continuité entre toutes les espèces et l'on aurait du trouver d'innombrables maillons de transition reliant les espèces. Or ces recherches s'avérèrent décevantes, on ne découvrit aucun fossile de forme transitionnelle.
Certaines espèces ont été présenté au public comme des espèces intermédiaires. C'est le cas de l'archéoptéryx qui a été et est encore considéré par certains évolutionnistes comme l'intermédiaire entre les reptiles et les oiseaux. Toutefois, on s'est rendu compte en 1992 que cet animal possédait déjà des ailes et des plumes aussi complexes que celles des oiseaux d'aujourd'hui et qu'il était capable de voler (prouvé par l'existence d'un sternum qui est l'os thoracique essentiel pour les muscles permettant à un oiseau de voler). Aucune forme intermédiaire ne fut trouver entre l'aile et les membres postérieurs. Pourtant même après cette période, l'archéoptéryx est encore enseigné dans de nombreuses d'écoles comme étant le chainon manquant entre les reptiles et les oiseaux...
Les darwinistes avancèrent également que le coelacanthe, un poisson que l'on croyait était depuis des millions d'années, était un intermédiaire entre les poissons et les amphibiens. Cette croyance s'effondra en 1938 lorsqu'on repêcha, au large de l'Afrique du Sud, un spécimen de coelacanthe que l'on croyait disparu. L'étude anatomique du poisson révéla que celui-ci n'avait rien de commun avec les amphibiens et qu'il n'était pas un intermédiaire mais bien une espèce de poisson. D'ailleurs aujourd'hui aussi même avec les moyens que nous disposons, aucun être vivant n'a été trouvé comme étant un être intermédiaire entre deux espèces.
Darwin se rendait déjà parfaitement compte à son époque que l'on arrivait pas à trouver les formes intermédiaires nécessaires à approuver sa théorie. Il dit un jour : "Bien que des recherches géologiques aient incontestablement révélé l'existence passé d'un grand nombre de chaînons qui ont déjà rapproché les unes des autres bien des formes de vie, elles ne se présentent pas, entre les espèces actuelles et les espèces passées, toutes les gradations infinies et insensibles que réclame ma théorie, et c'est là, sans contredit, l'objection la plus sérieuse qu'on puisse lui opposer". On peut même le voir s'interroger dans son propre livre sur le fait qu'il ne trouve pas de formes intermédiaires. Au chapitre IX, il écrit : "Pourquoi, si les espèces descendent d'autres espèces par graduation, ne voit-on pas partout un nombre incalculable de formes transitionnelles? Car vue que d'après cette théorie, un nombre incalculable de formes transitionnelles doivent avoir existé, pourquoi ne les retrouvent-on pas enfoncer en nombres incalculable dans la croute terrestre?" La réponse est évidente parce que sa théorie est fausse. En revanche, on retrouve un nombre incalculable de fossiles qui réfutent complètement et catégoriquement cette théorie. Par exemple, on s'est rendu compte qu'un requin vieux de 400 millions d'années et un requin moderne avaient la même structure. Pareillement, un fossile de tortue vieux de 120 millions d'années est la preuve que les tortues ne descendent pas d'autres êtres vivants, qu'elles n'ont jamais subi d'étapes intermédiaires de transformation puisqu'elles présentent la même structure depuis des millions d'années. Même chose pour les autres fossiles retrouvés, il n' y a aucune différence entre une fourmi vieille de 100 millions d'années et une fourmi moderne, aucune différence entre une libellule vieille de 135 millions d'années et une libellule moderne ou entre une chauve souris de 75 millions d'années et une chauve souris moderne.
Ce qui est amusant de noter, c'est qu'à l'époque les plus fervents détracteurs de Darwin n'était non pas comme on pourrait le croire, les ecclésiastiques et l'Eglise, mais ses confrères paléontologues. Darwin n'était en aucun paléontologue mais naturaliste et les suppositions fondamentales sur lesquelles reposait sa théorie de l'évolution n'étaient pas à l'époque (ni même maintenant) confirmées par la paléontologie. C'est un fait avéré, depuis 150 ans des générations de paléontologues ont recherché les formes de transition voulues par la théorie, mais en vain. Les recherches de fossiles ont, à l'inverse, mis en évidence l'absence d'intermédiaire entre les espèces. Dans son livre page 302 Darwin dit : "Si de nombreuses espèces appartenant au même genre, à la même famille sont réellement apparues soudainement alors ce fait serait fatal à la théorie de l'origine avec des modifications lentes à la travers la sélection naturelle." Et bien c'est le cas, il y a 600 millions d'années, période appelée le Cambrien*, il y eut une explosion prodigieuse du nombre de formes de vie. Les espèces ne sont alors pas apparues successivement comme le nécessite la théorie, mais soudainement et déjà différenciées en groupe et sous groupe, sans que l'on puisse trouver le moindre ancêtre probable dans le pré-cambrien. Ce scénario s'est répété de nombreuses fois au cours de l'histoire de la Terre : pour l"apparition des plantes à fleurs, des poissons cartilagineux (raies, requins), des amphibiens… A chaque fois, les espèces sont apparues en différents groupes bien distincts, sans qu'aucune espèce ne puisse être l'ancêtre d'une autre. Steven Stanley, paléontologue et biologiste de l'évolution et professeur à l'Université de Yale, le reconnait lui même lorsqu'il écrit dans son ouvrage Macroevolution : "Les gisements fossiles connus ne fournissent pas un seul exemple témoignant de l'évolution graduelle en train d'accomplir une transition morphologique majeure et n'offrent donc aucune preuve de la validité du modèle gradualiste (Darwinien)".
*Cambrien : Terme qui se réfère à l'apparition géologique soudaine de la plupart des groupes d'animaux.
Si la théorie de l'évolution apparaît aujourd'hui comme une aberration, comment a-t-on pu la prendre à l'époque comme un fait avéré? Tout d'abord, il est important de souligner qu'à l'époque de Darwin, tout le monde n'y croyait pas. De grands érudits réfutaient déjà avec force sa théorie, c'est le cas du célèbre scientifique français Louis Pasteur qui fut le plus grand bactériologiste de son temps mais également chimiste, physicien, professeur de géologie, docteur en médecine et grand pionnier de la microbiologie.
La théorie de l'évolution de Charles Darwin n'est qu'un scénario et comme tout scénario scientifique, il fallait des preuves.
Deux arguments de Darwin pour prouver sa théorie de l'évolution :
1- La sélection naturelle
En gros pour lui, les animaux se seraient transformés pour être toujours mieux adaptés aux milieux dans lesquels ils vivent. De cette énonciation, il n'avait aucune preuve, il a lancé la théorie et espérait qu'ensuite on trouve des preuves. Il a appelé son idée : la sélection naturelle. La lutte pour la vie entraîne la survie des individus les mieux adaptés parmi une espèce et donc la sélection des modifications les plus avantageuses. Les êtres moins bien adaptés pour la compétition sont donc éliminés. En d'autres termes, les plus forts survivent et les plus faibles périssent, on peut également appelé ça la loi évidente de la persistance du plus apte. Darwin illustra son propos en expliquant que si la girafe a aujourd'hui un long cou, c'est parce qu'à l'origine il y avait des girafes à petits, moyens et longs cous. La nourriture étant haute sur les arbres, les girafes aux cous plus longs que les autres vont être avantagées pour se nourrir car elles seront moins soumises à la concurrence des autres girafes. Les girafes aux cous plus courts ne pouvant se nourrir mourront sans avoir eu de descendants, les girafes aux longs cous en revanche vont vivre plus longtemps et auront une descendance plus nombreuse. Cette sélection naturelle va se poursuivre et progressivement le coup des girafes va s'allonger de générations en générations. La diversité biologique repose donc pour lui et tout les futurs évolutionnistes sur des modifications accidentelles, ce que l'on va appeler par la suite des mutations génétiques qui vont soit apporter un désavantage, soit un avantage, dans ce dernier cas, cela peut aider à survivre.
2- Les mutations
Les mutations sont des altérations ou distorsions qui se créent sur la séquence de l'ADN d'un être vivant. Elles sont dues notamment à des effets externes comme des radiations ou des substances chimiques. Les évolutionnistes prétendent que s'il y a tant d'espèces vivantes différentes sur notre planète c'est parce qu'elles ont muté d'une autre, que ces altérations génétiques seraient le mécanisme d'évolution permettant d'ajouter de l'information génétique. Aujourd'hui il est prouvé par de grands experts que cette affirmation n'est pas exacte, les mutations ne feraient que réduire ou endommager l'information présente dans l'ADN et ne généraient que des effets négatifs sur les êtres vivants.
Ce fut le cas à Tchernobyl, où l'on a constaté dans un rayon de 300 km autour de la centrale la naissance de milliers d'enfants infirmes suite à des mutations génétiques engendrées par la radioactivité. En plus des malformations congénitales, on a pu constaté une hausse conséquente du nombre de cancers, de tumeurs, de leucémies, de retards mentaux, d'anomalies neurologiques comme des hydrocéphalies… Ce phénomène se produit surement actuellement à Fukushima...
On a pu aussi voir le résultat des mutations sur l'ADN humain avec l’agent orange fabriqué par Mosanto et déversé par les soldats américains sur les forêts, les récoltes et les habitants pendant la guerre du Viet-Nam. Dans une maternité à Ho-Chi-Minh sont conservés dans du formol tous les foetus "monstrueux" frappés par la dioxine contenue dans l'agent orange, dioxine qui a entrainé des mutations de l'ADN, c'est à dire des effets néfastes. On y trouve des frères siamois partageant une seule tête disproportionnée, un tronc à deux têtes, des cas d'anencéphalie (absence de cerveau), de microcéphalie (petit cerveau)… Les enfants nés après ce drame sont atteints de cancers, de cécité (ils n'ont ni oeil ni orbite), de diabète, de déficits moteurs et intellectuels, de troubles mentaux, de paralysie et autres malformations diverses, maladies de peau, troubles musculaires...
Ce fut le cas à Tchernobyl, où l'on a constaté dans un rayon de 300 km autour de la centrale la naissance de milliers d'enfants infirmes suite à des mutations génétiques engendrées par la radioactivité. En plus des malformations congénitales, on a pu constaté une hausse conséquente du nombre de cancers, de tumeurs, de leucémies, de retards mentaux, d'anomalies neurologiques comme des hydrocéphalies… Ce phénomène se produit surement actuellement à Fukushima...
On a pu aussi voir le résultat des mutations sur l'ADN humain avec l’agent orange fabriqué par Mosanto et déversé par les soldats américains sur les forêts, les récoltes et les habitants pendant la guerre du Viet-Nam. Dans une maternité à Ho-Chi-Minh sont conservés dans du formol tous les foetus "monstrueux" frappés par la dioxine contenue dans l'agent orange, dioxine qui a entrainé des mutations de l'ADN, c'est à dire des effets néfastes. On y trouve des frères siamois partageant une seule tête disproportionnée, un tronc à deux têtes, des cas d'anencéphalie (absence de cerveau), de microcéphalie (petit cerveau)… Les enfants nés après ce drame sont atteints de cancers, de cécité (ils n'ont ni oeil ni orbite), de diabète, de déficits moteurs et intellectuels, de troubles mentaux, de paralysie et autres malformations diverses, maladies de peau, troubles musculaires...
Les scientifiques spécialisés dans le domaine affirment que les mutations sont toujours néfastes.
"Les mutations sont toujours néfastes, elles peuvent amener de petits ajustements chez certaines espèces mais il n'y a aucun moyen qu'elles puissent transformer une espèce en une autre." Docteur Lane Lester, généticien américain.
Dans la réalité, que ce soit dans la nature ou en laboratoire, aucune mutation bénéfique n'a été jusqu'à présent observé. Les mutations n'ajoutent pas de nouvelles informations génétiques mais endommagent la structure de l'ADN et aboutissent donc à une perte de l'information génétique. Pour eux, les mutations bénéfiques relèvent de la pure fiction. La fiction d'ailleurs, de part les comics puis le cinéma a imaginé des dizaines et des dizaines de radiations spectaculaires engendrant des effets positifs ou négatifs sur l'ADN des personnages de leur histoire faisant d'eux des personnes surhumaines.
"Même dans les mutations favorables, il n'y a pas en réalité de nouvelles informations génétiques. Les exemples soutenus par les évolutionnistes sont simplement des variations au sein d'une même espèce (papillon de nuit poivré). Ce sont des exemples de réajustement d'informations génétiques ou de pertes d'informations génétiques, il n'y a pas de nouvelles informations génétiques". Don Batten, phytobiologiste américain et chercheur en horticulture.
Article intéressant sur les mutations d'un papillon : Les secrets de l'évolution vus d'un papillon
Article intéressant sur les mutations d'un papillon : Les secrets de l'évolution vus d'un papillon
Il est important de dire que la sélection naturelle de Darwin est un processus qui peut s'accorder parfaitement avec la micro-évolution, pour expliquer en clair certains types de variations limitées et des changements à petits échelle comme l'évolution à l'intérieur d'une espèce. Par exemple pour un oiseau des changements mineurs tels que la couleur, la forme du bec, la taille… Cependant, l'élargissement de cette théorie à la macro-évolution, donc pour expliquer l'entière complexité de la vie relève en revanche d'une croyance et non pas de la science.
"L'information requise pour une évolution à grande échelle ne peut vraiment pas venir de mutations aléatoires, le modèle Darwinien dit que c'est possible cependant personne n'a pu le prouver." Moi en revanche, j'ai fait une expérience qui prouve que c'est impossible, c'est très improbable qu'il puisse y avoir plusieurs petits changements d'évolutions aboutissant à une grande évolution. Et non seulement c'est improbable d'un point de vue mathématique et théorique mais aussi expérimentalement, personne n'a jamais trouvé une seule mutation pouvant servir d'exemple pour démontrer qu'il y a eu un rajout d'information". (Lee Spetner, biophysicien américain, Not a Chance).
En résumé, Darwin n'a pas pu prouver sa sélection naturelle par les êtres intermédiaires puisque aucun fossile n'a été retrouvé. Sa deuxième suggestion celles des mutations, qu'il appelait a l'époque mouvement accidentels à été définitivement enterré par la génétique et la biologie moléculaire puisque les mutations endommagent l'ADN.
Pourquoi Darwin s'est trompé sur les mutations?
Tout simplement parce que Darwin ne connaissait rien de la structure complexe de la cellule humaine. En effet, sous les microscopes primitifs de l'époque, les cellules apparaissaient comme n'étant pas plus grosses que des petits taches. Au XIXe siècle les scientifiques pensaient que la base de la vie qu'est la cellule vivante était juste une simple sphère de protoplasme. Ernst Haeckel qui fut le plus grand défenseur du darwinisme en Allemagne proclamait que la cellule vivante avait une structure très simple. Dans un de ses articles, il qualifia la cellule comme n'étant "qu'un petit grumeau de combinaison de carbone".
Expliquer l'effroyable complexité de la structure d'une cellule vivante est d'ailleurs aujourd'hui un nouvel obstacle, si ce n'est le plus grand obstacle à la théorie des évolutionnistes. Le zoologiste évolutionniste William Homan Thorpe le reconnait lui même lorsqu'il dit : "La cellule la plus élémentaire constitue un mécanisme plus complexe que n'importe quelle machine imaginée à ce jour".
La technologie* du XXe et encore plus celle du XXIe siècle a permis de sonder les plus petites particules de vie et révéla que la cellule est le système le plus complexe et le plus élaboré que l'homme ai jamais connu. Dans son ouvrage : "L'évolution : une théorie en crise" le professeur de biologie Michael Denton explique : "Pour cerner la réalité de la vie comme elle a été dévoilée par la biologie moléculaire, il faudrait agrandir la cellule un milliard de fois jusqu'à ce que son diamètre atteigne vingt kilomètres et ressemble à un énorme vaisseau spatial dont la taille peut couvrir une ville comme Londres ou New York. Nous verrions ainsi un objet d'une grande complexité. Sur la surface de la cellule, il existe des millions d'ouvertures comme celles qu'on trouve sur un grand vaisseau spatial. Elles s'ouvrent et se referment pour permettre un flot régulier de matériaux. Si on rentrait dans ces ouvertures, nous verrions un monde d'une technologie suprême et d'une complexité qui laisse perplexe ; une complexité au-delà de notre capacité créative ; une réalité qui est l'antithèse du hasard et qui dépasse de loin tout ce que l'intelligence humaine a pu produire."
*Cette technologie repose principalement sur l'invention des microscope électroniques qui sont des types de microscopes qui utilisent un faisceau de particules d'électrons pour illuminer un échantillon et en créer une image très agrandie. Les microscopes optiques qui eux utilisent des rayonnements électromagnétiques obtiennent des grossissements allant jusqu'à 2000 fois. Les meilleurs microscopes électroniques peuvent obtenir des grossissements beaucoup plus élevés allant jusqu'à 2 millions de fois.
L'ADN : un système de code nécessite une intelligence
La biochimie moderne nous a très récemment dévoilé l'inimaginable complexité du design de la molécule d'ADN présente dans nos cellules. Cette structure de la molécule d'ADN fut découverte par deux scientifiques en 1955, le biochimiste et (futur) généticien James Watson et le biologiste britannique Francis Crick. Francis Crick lui même auto proclamé évolutionniste et qui a reçu le prix Nobel de physiologie ou médecine pour cette découverte a été ensuite amené à avouer qu'une structure telle que l'ADN ne pouvait être apparue par chance.
L'ADN est une molécule que l'on trouve dans le noyau de chacune des 100 milliards de cellules de notre corps. Cette molécule contient le plan de construction complet de notre corps, c'est à dire les informations concernant toutes les caractéristiques de notre personne. Tous ces détails physiques et physiologiques sont contenues dans la double hélice de notre ADN et sont codifiés à l'intérieur d'une séquence de quatre bases spéciales appelée bases azotées qui forment cette molécule. Ces quatre bases qui s'enchaînent sont l'Adénine, la Guanine, la Thymine et la Cytosine, on les abrège par les initiales de leur noms : A, G, T et C. Toutes les différences structurelles parmi les personnes dépendent de la variation de la séquence de ces lettres. L'ordre séquentiel de ces lettres va déterminer notre structure jusque dans les moindres détails, cela comprend notre taille, nos yeux avec leurs formes, leurs couleurs, leurs capacités à percevoir plus de 7 millions de couleur (sur une rétine mesurant seulement 11mm2 sur 1/4 de mm d'épaisseur), nos cheveux, notre peau, l'aspect de nos 206 os, de nos 640 muscles, de nos 10 000 muscles auditifs, de nos 2 millions de nerfs optiques, de nos veines longues de 130 milliards de mètres, de nos 100 milliards de cellules nerveuses…
Si l'on devait consigner par écrit l'information contenu dans l'ADN, on obtiendrait une bibliothèque géante de 900 volumes d'une encyclopédie de 500 pages par volume. Pourtant, cette quantité phénoménale d'informations est stockée dans le nucléus de chacune de nos cellules (qui ont une taille d'environs 1/1000 de millimètres de diamètre) ; le nucléus n'étant lui même qu'une fraction de la cellule entière. Il a été calculé qu'une chaine d'ADN dont la taille remplirait une petite cuillère aurait la capacité de stocker toute l'information de tous les livres écrits depuis le début de l'humanité. Autrement dit, l'ADN est le meilleur disque dur jamais conçu! En outre, l'ensemble de l'ADN contenu dans toutes les cellules d'un être humain déroulé mesurerait 40 milliards de kilomètres, soit 300 fois la distance Terre-Soleil!
Dr Werner Gitt, ingénieur et spécialiste de l'information dans l'ADN a écrit dans son livre "A l'origine il y avait de l'information" paru en 2006: "Un système de code est toujours le résultat d'un processus mental, cela nécessite une intelligence ou un inventeur. On devrait accentuer le fait que la matière toute seule est incapable de générer n'importe quel code. Toutes les expériences démontrent qu'un être intelligent qui volontairement exerce son propre choix, sa propre cognition et créativité, est requis". Il continue en disant : "Il n'y a pas de loi de la nature connue, ni de processus connu, ni de séquences d'événements connues qui permettent d'entrainer l'information à se créer toute seule dans la matière".
En clair, l'information qui est stockée dans l'ADN pointe forcément vers un designer possédant une intelligence. Bill Gates, homme de génie que tout le monde connaît pour être le pionnier de la micro informatique, le fondateur de Microsoft et accessoirement l'un des hommes les plus riches du monde a d'ailleurs dit un jour que l'ADN était comme un programme d'ordinateur seulement beaucoup plus complexe que n'importe quel programme déjà crée. C'est une remarque très intéressante car on sait que des programmes ne peuvent venir que de programmeurs. Et en réalité, on sait d'un point de vue général que de l'information, que celle-ci soit contenu dans un programme d'ordinateur, dans des hiéroglyphes, dans le gros titre d'un journal, dans le journal intime d'une collégienne ou bien dans un livre, elle provient toujours d'une source d'intelligence. Donc lorsque l'on trouve de l'information dans la molécule ADN, un codage qui plus est, la façon la plus logique de comprendre les choses et d'admettre que celle-ci provient aussi d'une source d'intelligence.
Article complémentaire sur les systèmes de codes : Un sonnet de Shakespeare comme allégorie de la création
Article complémentaire sur les systèmes de codes : Un sonnet de Shakespeare comme allégorie de la création
Pensée philosophique du jour
Le paradoxe avec un ordinateur et notre ADN est amusant. Tout le monde sait qu'un ordinateur a été créée par quelqu'un. Il n'y a rien de "religieux" à dire cela. On sait qu'il a été conçu même si l'on n'a pas vu personnellement le concepteur. Il y a là une raison d'être, on y voit une intelligence, on sait qu'il y a une cause derrière cet effet, quelqu'un. Pourtant, nous êtres humains, avons des programmes infiniment plus complexe que les ordinateurs, il est donc tout aussi logique, voir plus, de dire que nous aussi nous avons été créée. Il n'y a rien de "religieux" dans cette affirmation, l'on basculerait dans le "religieux" ou plus exactement la métaphysique si l'on demandait QUI m'a créée? Mais dire que nous avons été créée n'a rien de philosophique ou "religieux", c'est un constat, une évidence.
Prenez par exemple le tableau de la Joconde de Léonard de Vinci, qui est le tableau le plus connu au monde, montrez-le à un enfant. Quand celui-ci vous demandera qui l'a peint, vous lui répondrez : "Personne mon chéri, c'est le hasard. Avec le temps ce tableau a émergé, les couleurs et ses formes sont apparus et ont donné ce résultat là." L'enfant vous croira-t-il? Bien sûr que non! C'est une évidence, son bon sens, sa raison ou sa logique appelez ça comme vous voulez, lui fera comprendre que cela n'est pas possible.
Même ordre d'idée avec la Tour Eiffel, lorsque vous la montrerez à votre enfant, essayez de lui faire croire que personne ne l'a créée et qu'elle est sorti du néant comme ça par hasard, en ayant exactement cette structure. Même résultat, votre enfant refusera de vous croire. Pourquoi? Parce que même un enfant sait au fond de lui qu'une chose révélant une complexité, une intelligence provient forcément d'une cause intelligente qui possède cette intelligence à un degré supérieur.
Autres discrédits à la théorie de l'évolution :
La toute première cellule et son apparition sont des phénomènes bien trop complexes pour être dû au hasard. Les mathématiques et les probabilités nous expliquent que la création de la vie par le hasard est tout simplement improbable.
Les progrès de la biologie moléculaire ont fourni un nouveau moyen de tester la théorie de Darwin. L'étude du cytochrome-C, une protéine présente chez tous les êtres vivants (employée à la production de l'énergie cellulaire) révéla que celle-ci était différente chez tous les êtres vivants. En comparant sur la protéine le nombre de positions où celle-ci diffère, il était possible de calculer un pourcentage de divergence entre les protéines de chaque espèce. Si la théorie de Darwin était vraie, on aurait du trouver une séquence de protéines entre les espèces, et donc pouvoir déterminer quelle espèce est l'ancêtre de l'autre. Les résultats de cette étude furent déconcertants : toutes les formes de vie, animale et végétale, sont à la même distance moléculaire de toutes les espèces unicellulaires. En d'autres termes, il n'existe aucune trace de la série évolutive poisson, amphibien, reptile, mammifère. Chaque espèce est unique, isolée et non reliée à d'autres par des intermédiaires ; La théorie de l'évolution qui avait pour but d'expliquer l'origine des espèces est donc fausse. Il n'existe aucune espèce biochimiquement primitive, aucune espèce ne peut être qualifiée d'ancêtre. D'ailleurs selon Ali Demirsoy, entomologue et éminent professeur de biologie, la conception même de la protéine cytochrome-C (qui rend également possible la respiration de l'oxygène chez tous les êtres vivants) est tellement complexe qu'il est impossible qu'elle ai pu se former par hasard (encore).
Dans leur ouvrage "Evolution from space", le cosmologiste et astronome britannique Fred Hoyle et le professeur de mathématiques appliqués et d'astronomie Chandra Wickramasinghe ont calculé que la probabilité que l'ensemble des protéines nécessaires à la formation de la première cellule soit synthétiser et rassembler était de 1 chance sur 1040 (un 1 avec 40 000 zéros derrière)! Soit une probabilité d'une faiblesse tellement inconcevable qu'on ne pourrait pas la surmonter même si tout l'univers consistait en une soupe organique. Pour que l'on saisisse correctement l'importance de son calcul, Hoyle expliqua que la probabilité pour qu'un organisme vivant émerge par hasard d'une soupe prébiotique est aussi improbable qu'un ouragan, balayant le hangar d'un ferrailleur, assemble un Boeing 747 à partir des matériaux disponibles.»
Francis Crick, qui a reçu le prix Nobel pour avoir découvert l'ADN, écrivit dans son ouvrage "Live itself" : "Un honnête homme armé de tout le savoir dont nous disposons actuellement ne pourrait pas aboutir à une autre conclusion : dans un sens, l'origine de la vie apparaît presque aujourd'hui comme un miracle."
Dans un domaine proche, la chimie et les mathématiques montrent qu’il y a 1 chance sur 4x10 puissance 27 pour qu’un polymère apparaisse dans une « soupe » d’atomes, c’est à dire 4 suivi de 27 zéros. Or un ADN est un polymère approximativement 1 000 fois plus grand que le premier polymère pris en exemple. Très grossièrement, on en déduit, simplement, très simplement, que la probabilité d’apparition des polymères constituant la membrane cellulaire avec un ADN à l’intérieur est donc de : 10 puissances (27.000), c'est à dire un 1 suivi de 27 000 zéros. Cette probabilité n'a rigoureusement aucun sens.
La matière ne peut s'organiser elle-même
Tous les évolutionnistes soutiennent qu'au départ les créatures vivantes se sont formées spontanément à partir de matière inanimée. Selon leur théorie, à une période où la Terre n'était constituée que de roches inanimées, de terre et de gaz, un organisme vivant se forma par hasard sous les effets conjugués du vent, de la pluie, de la foudre et de la lumière. Charles Darwin est le premier a l'énoncé quand il écrit :
"La vie est apparue dans un petit étang chaud, dans lequel il y avait un riche bouillon de produits chimiques organiques, à partir desquels s'est formé le premier organisme primitif à la suite d'une longue période d'incubation durant les temps géologiques."
On retrouve encore cette même idée chez lui dans une communication personnelle écrite en 1871 et adressée à son ami botaniste Joseph Hooker :
"On dit souvent que toutes les conditions pour la première production d'un organisme vivant qui sont maintenant réunies, pourraient ne l'avoir jamais été. Mais si (et oh !, quel grand si) nous pouvions concevoir, dans quelque petite mare chaude, en présence de toutes sortes de sels d'ammoniac et d'acide phosphorique, de lumière, de chaleur, d'électricité, etc., qu'un composé de protéine fût chimiquement formé, prêt à subir des changements encore plus complexes, au jour d'aujourd'hui une telle matière serait instantanément dévorée ou absorbée, ce qui n'aurait pas été le cas avant l'apparition des créatures vivantes"
Même aujourd'hui c'est ce que continu de penser certains évolutionnistes. En l'an 2000, l'un d'entre eux écrit :
"L'essence du fait de l'évolution est que la vie a émergé imperceptiblement de la matière non-vivante et que, par la suite, les espèces se sont transformées et ont émergé les unes à partir des autres par un processus naturel." (Cyrille Barette, professeur de Biologie à l'université de Laval, ouvrage sorti en 2000 : Le miroir du monde, page 9
Sérieusement, comment peut-t-on encore laisser des gens dire ce genre d'ânerie au XXIe siècle? Cet évolutionniste parle d'un fait. Or un fait c'est quelque chose que l'on observe. Il dit "le fait de l'évolution", pour lui l'évolution n'est même plus une théorie mais bel et bien un fait avéré ; Premier problème, où sont les preuves? Ensuite, on continue plus loin il dit : "l'évolution est un fait, la vie a émergé imperceptiblement…" Deuxième problème : comment si quelque chose est un fait (donc observable) peut-il être imperceptible, imperceptible voulant justement dire que cela ne se voit pas. Un fait qui n'est pas observable, cela n'existe pas! Un fait devient précisément un fait lorsqu'on l'a observé!
La matière inerte ne peut engendrer de la matière vivante
Ensuite ce scientifique dit : "La vie a émergé imperceptiblement de la matière non-vivante". Que ce soit à la fin du XIXe siècle ou au XXIe siècle, on voit qu'on est ici en présence du même niveau d'incohérences et de bêtises que l'on pouvait avoir dans les croyances superstitieuses des alchimistes du Moyen Age qui pensaient que les grenouilles s'étaient formées spontanément à partir de la boue sur les lits de rivières. Cette croyance que l'on appelle génération spontanée (ou abiogenèse) qui consiste à affirmer que de la matière vivante puisse naître de la matière non vivante fut synthétisée par Aristote dans l'Antiquité. Cette croyance populaire était également admise du temps de la Chine ancienne où l'on pensait que des bambous naissaient les pucerons. Cette théorie qui s'imposa dans les esprits avec force pendant des siècles, se développa encore d'avantages au XVIIe siècle avec le médecin flamand Van Helmont qui cru avoir prouver scientifiquement cette génération spontanée en mélangeant des grains de blé avec une chemise imprégnée de sueur humaine. Après 21 jours d'incubation, il obtenu des souris. Avec des souris sorties du néant, cette expérience prouvait alors de manière irréfutable que du monde de l'inanimé pouvait naître le vivant...
Les travaux de Spallanzani (1780) ou Redo (1688) et pour finir Pasteur, qui vint y mettre le point final, réfutèrent tout ceci et prouvèrent notamment que des asticots ne pouvaient naître de la viande pourrie et que des mouches ne pouvaient naître de peaux de bananes pourries ou d'animaux morts. Lorsque la matière en décomposition a été isolée et pré-stérilisée, aucune vie n'est apparue car il n'y avait eu aucune contamination biologique. Même au niveau microbiologique il est prouvé qu'indépendamment de la situation aucune matière vivante ne peut naître de la matière inerte. C'est la grande loi de la biogenèse.
Pasteur proclama : "La matière peut-elle s'organiser elle même? Non! Aujourd'hui, il n'y a aucun cas connu sur lequel quelqu'un pourrait s'appuyer pour affirmer que des êtres microscopiques sont venus au monde sans parents qui leur ressemblent." Après de longues recherches, il fit connaitre le résultat de son expérience avec les microbes lors d'un discours triomphal à la Sorbonne en 1864 dans lequel il déclare : "La doctrine de la génération spontanée ne se relèvera jamais de ce coup fatal porté par cette simple expérience".
La théorie de l'évolution comme la génération spontanée en son temps, viole cette loi de la biogenèse qui explique que la vie ne peut provenir que de la vie, qu'un être vivant ne peut provenir que d'un autre être vivant. Premier cours de biologie : Omne vivum ex vivo : la vie ne peut être créée que par la vie.
L'apparition de la conscience ne peut s'expliquer par un processus hasardeux de la matière
Une autre énigme pour les darwinistes qui relève plus de la philosophie et de la psychologie, c'est l'apparition de la conscience au sein du monde animal. Comment un processus matérialiste a-t-il pu donner aux êtres vivants la faculté de penser, d'avoir conscience d'eux-mêmes? John Eccles, neurologue et prix Nobel de médecine, écrit dans son ouvrage "Evolution du cerveau et apparition de la conscience" :
Il est gênant que les évolutionnistes se soient si peu préoccupés de la formidable énigme qu'oppose à leur théorie matérialiste l'apparition du mental au cours de l'évolution des espèces… Le moment est venu où l'on est en droit de dire qu'on ne fait pas disparaître un problème en refusant de le poser."
Karl Popper, le célèbre philosophe des sciences, ajouta que l'apparition de la conscience dans le règne animal est peut-être un aussi grand mystère que l'origine de la vie même. Il est vrai que dans la nature, toutes les créatures vivantes adoptent des comportements d'une intelligence extraordinaire. Ces comportements, fondés sur des qualifications, des compétences et des possibilités supérieures de planification, ont une chose en commun. Chacun exige nécessairement des capacités. Les qualifications qu'un être humain peut maîtriser seulement par l'étude, et en acquérant la compétence et l'expérience, existent déjà chez les animaux au moment de leur naissance. D'où ces capacités sont-elles venues? Et comment les créatures vivantes les ont-elles apprises? Ces êtres vivants, faisant preuve de tels comportements hautement intelligents, chassant avec un tel calcul, et si nécessaire, se comportant comme des ingénieurs chimistes, sachant quel matériel produire dans une situation particulière, ont vraiment dérouté les scientifiques qui les étudient. A tel point que même les scientifiques évolutionnistes admettent que les créatures vivantes les plus rusées ont des caractéristiques qui nécessitent de l'intelligence. Le scientifique Richard Dawkins, malgré le fait qu'il soit un évolutionniste, décrit le comportement des araignées de cette façon dans son livre "Climbing Mount Improbable" :
"Dans notre cheminement nous aurons l'occasion d'examiner des toiles d'araignées à l'ingéniosité ahurissante, bien qu'inconsciente, avec laquelle elles sont faites et comment elles fonctionnent."
Il est gênant que les évolutionnistes se soient si peu préoccupés de la formidable énigme qu'oppose à leur théorie matérialiste l'apparition du mental au cours de l'évolution des espèces… Le moment est venu où l'on est en droit de dire qu'on ne fait pas disparaître un problème en refusant de le poser."
Karl Popper, le célèbre philosophe des sciences, ajouta que l'apparition de la conscience dans le règne animal est peut-être un aussi grand mystère que l'origine de la vie même. Il est vrai que dans la nature, toutes les créatures vivantes adoptent des comportements d'une intelligence extraordinaire. Ces comportements, fondés sur des qualifications, des compétences et des possibilités supérieures de planification, ont une chose en commun. Chacun exige nécessairement des capacités. Les qualifications qu'un être humain peut maîtriser seulement par l'étude, et en acquérant la compétence et l'expérience, existent déjà chez les animaux au moment de leur naissance. D'où ces capacités sont-elles venues? Et comment les créatures vivantes les ont-elles apprises? Ces êtres vivants, faisant preuve de tels comportements hautement intelligents, chassant avec un tel calcul, et si nécessaire, se comportant comme des ingénieurs chimistes, sachant quel matériel produire dans une situation particulière, ont vraiment dérouté les scientifiques qui les étudient. A tel point que même les scientifiques évolutionnistes admettent que les créatures vivantes les plus rusées ont des caractéristiques qui nécessitent de l'intelligence. Le scientifique Richard Dawkins, malgré le fait qu'il soit un évolutionniste, décrit le comportement des araignées de cette façon dans son livre "Climbing Mount Improbable" :
"Dans notre cheminement nous aurons l'occasion d'examiner des toiles d'araignées à l'ingéniosité ahurissante, bien qu'inconsciente, avec laquelle elles sont faites et comment elles fonctionnent."
En fait, en disant ceci, Dawkins se heurte à des questions telles que "Comment le comportement conscient et intelligent des animaux a-t-il pu émergé, et quelle était sa source?" Ceci ne peut en aucun cas être expliqué par la théorie de l'évolution. "Comment se fait-il que les créatures vivantes possèdent cette intelligence, et comment apprennent-elles à l'appliquer? C'est une des nombreuses questions auxquelles les défenseurs de l'évolution sont incapables de fournir des réponses satisfaisantes et définitives.
A ce niveau, un examen des arguments que les évolutionnistes emploient pour essayer de répondre à la question du comportement conscient et intelligent chez les animaux s’avère nécessaire. A cet effet nous allons expliquer la vraie signification d'un terme que les évolutionnistes utilisent dans leur théorie.
La théorie de l'évolution ne peut expliquer l'instinct chez les animaux
Les évolutionnistes, cherchant une réponse à la question "comment les créatures vivantes arrivent à avoir un comportement résolu", utilisent le terme "d’instinct" pour tenter de clarifier ce sujet. Mais ils n’y sont pas arrivés. Ceci peut être clairement compris par un examen plus profond du concept de l'instinct." Les évolutionnistes disent que les animaux pratiquent des choses telles que la dévotion, la planification, la tactique ou bien adoptent des comportements qui exigent des capacités spéciales (telles que la conscience et l'intelligence) grâce à "l'instinct". Mais naturellement, avancer un tel argument sans le démontrer n’est pas suffisant. En plus de cette affirmation, ils doivent également fournir des réponses à des questions qui consistent à savoir, par exemple, comment ce comportement est survenu la première fois, comment il est passé de génération en génération, et comment le concept de l'instinct, pris en absolu, est parvenu à donner aux créatures vivantes la conscience et l'intelligence. On constate alors que les évolutionnistes n'ont absolument aucune réponse à de telles questions. Au sujet des instincts, Gordon Rattray Taylor, évolutionniste expert en génétique a dit ceci :
"Quand nous nous demandons comment un mode de comportement instinctif a surgi en premier lieu et est devenu héréditaire, nous n'avons aucune réponse". (Gordon Rattray Taylor, The Great Evoluton Mystery, Harper and Row Publishers, 1983, p. 222)
La programmation génétique des animaux
D'autres évolutionnistes indiquent que le comportement de toutes les créatures vivantes n'est pas fondé sur l'instinct, mais sur leur programmation génétique. Mais dans ce cas ils doivent expliquer qui, à l’instar d’un logiciel d’ordinateur, a écrit le programme et l'a "installé" dans les créatures vivantes. Encore une fois, les évolutionnistes ne peuvent pas apporter de réponse.
Charles Darwin admettait encore une fois ce dilemme dans les mots suivants :
"De nombreux instincts sont si extraordinaires que leur développement apparaîtra probablement aux nombreux lecteurs comme une difficulté suffisante pour réfuter toute ma théorie". (Charles Darwin, The Origin of Species : A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 233)
La théorie de l'évolution n'explique pas les facultés de l'homme
La même question se pose ensuite pour l'homme. Comment la lutte impitoyable pour la vie aurait-t-elle pu engendrer des comportements tels que l'altruisme, le sacrifice de soi? Le naturaliste Alfred Russel Wallace qui a formulé la théorie de l'évolution en même temps que Darwin, ne pensait pas que l'évolution soit exclusivement le résultat d'un processus matérialiste mais qu'un chrétien qui accepte l'évolution de l'homme par la sélection naturelle doit ajouter que l'homme a des attributs spirituels, le bien et le mal qui ne résultent pas de l'évolution mais qui sont d'origine surnaturelle. On voit avec cette affirmation que les évolutionnistes ne savent rien du tout et essayent de s'arranger en mélangeant pseudo-sciences et religions quand cela les arrangent.
Le même problème se pose pour les philosophes matérialistes, l'écrivain matérialiste de renom Emile Ferrière avoua dans son ouvrage la Cause première (Alcan, 1987) que la science matérialiste était incapable d'établir un plan logique de moral. Il dit :
"Quant aux conclusions morales, les ténèbres sont tellement épaisses, et les contradictions si fortes, qu'on est réduit au seul parti philosophique qui soit sage, à savoir se résigner à l'ignorance"
Quelle bêtise! Pour cerner le personnage, voici son deuxième livre : L'âme est la fonction du cerveau. Cela veut tout dire…
"Quant aux conclusions morales, les ténèbres sont tellement épaisses, et les contradictions si fortes, qu'on est réduit au seul parti philosophique qui soit sage, à savoir se résigner à l'ignorance"
Quelle bêtise! Pour cerner le personnage, voici son deuxième livre : L'âme est la fonction du cerveau. Cela veut tout dire…
La théorie de l'évolution viole les deux premiers principes de la thermodynamique
On a vu dans ce long exposé que selon les darwinistes, l'apparition de la première cellule vivante, la diversification de la vie jusqu'à l'homme, et l'apparition de la conscience ne sont que les fruits d'une série de hasards! "Le hasard, disait Albert Einstein (pourtant athée), c'est Dieu qui se promène incognito!" La croyance en la théorie de l'évolution qui affirme que l'Univers irait en s'améliorant, en s'organisant de mieux en mieux à commencer par les cellules primaires pour aller jusqu'à l'homme viole la deuxième loi de la thermodynamique, celle de l'entropie qui révèle que dans l'Univers l'énergie décroît en intensité, c'est à dire travaille de moins en moins. Puisque c'est l'énergie qui tient les atomes ensemble pour former la matière et garde l'Univers en équilibre, la conséquence de cette entropie est une augmentation du désordre dans l'univers. On le voit par exemple avec une graine ou un embryon, même s'ils connaissent tout deux une période d'organisation, les processus chimiques qui les animent s'amenuisent avec le temps. Le vieillissement et l'usure en sont la preuve.
Pour expliquer plus facilement la loi d'entropie, on utilise souvent l'image d'un château de sable ; un château de sable disparaîtra peu à peu sous l'effet du vent, mais jamais un château de sable ne se formera sous l'effet du vent. Pourtant, la vie de l'Univers et de chacun de ses organismes est un phénomène extraordinairement et extrêmement plus complexe et ordonné qu'un château de sable, comment a-t-elle pu apparaître? Ne faudrait-il pas considérer l'intervention d'une force spirituelle qui dirige et ordonne l'évolution : Un Grand Esprit? C'est ce que pense bon nombres de scientifiques de notre époque et c'est ce que pensait les plus brillants savants de l'histoire de l'humanité. Quelle audace, quelle suffisance et quel aveuglement faudrait-il pour remettre en question l'immensité de leur savoir! Un peu d'humilité ne fait pas de mal...
La théorie de l'évolution est en violation directe avec la seconde loi de la thermodynamique. Les évolutionnistes en sont conscients et par conséquent leur théorie implique qu'il y ait eu une violation constante de cette loi pendant des milliards d'années. Non seulement, l'évolution, d'un point de vue statistique est extrêmement improbable, mais pratiquement impossible.
En plus de violer la science des probabilités, le principe même de la biogenèse et la seconde loi de la thermodynamique, la théorie de l'évolution en affirmant que la matière vivante est apparue de la matière inerte viole également la première loi de la thermodynamique, la loi de conservation de l'énergie. Cette loi énonce que l'énergie ne peut être ni créée, ni détruite, elle ne peut que se convertir, c'est à dire se transformer d'une forme à une autre. Cette règle absolue est énonçait dans l'axiome du chimiste Lavoisier qui disait : "Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme." Cette loi réfute à elle seule l'idée de l'apparition naturelle de la matière et du monde.
Conclusion
On arrive à la conclusion que la théorie de l'évolution de Darwin est en totale contradiction avec le domaine des probabilités, de la thermodynamique, de la biologie, la biologie moléculaire, de la biochimie, de la paléontologie (qui n'a pas trouvé de fossiles intermédiaires), de la génétique et bon nombres d'autres domaines. Elle ne peut expliquer ni l'apparition de la première forme de vie, ni la complexité d'une seule cellule, de l'ADN, de toutes les autres merveilles du corps humain et du reste de l'univers. Elle ne peut expliquer l'existence du nombre d'or qui revient sans cesse dans la création (allant jusqu'à apparaître au niveau quantique), de l'intelligence, de la conscience, de la morale... Sans rien connaître de la cellule vivante, des gènes, de l'hérédité, de l'ADN, Darwin a curieusement réussi le tour de force d'élaborer et d'ancrer sa théorie de l'évolution dans l'esprit de millions de gens alors qu'elle ne repose au final sur aucune preuve. Le plus triste dans tout cela c'est bien entendu les conséquences dramatiques qu'à eu la théorie de l'évolution sur notre rapport à l'autre, notre comportement envers autrui. Cette idée de lutte, de combat, d'écraser l'autre pour pouvoir survivre, ce besoin de séparer les gens, de les cataloguer par des classifications débiles, toutes ces conceptions ont profondément marqué l'histoire de l'humanité et ont causé beaucoup trop de souffrances et d'injustices.
Article complémentaire : Comment l'humanité a-t-elle enfanté d'un monstre? Ma vision du racisme.
Article complémentaire : Comment l'humanité a-t-elle enfanté d'un monstre? Ma vision du racisme.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire